- EAN13
- 9782915232868
- ISBN
- 978-2-915232-86-8
- Éditeur
- Bleu du Ciel éditions
- Date de publication
- 05/06/2013
- Collection
- POESIE
- Nombre de pages
- 96
- Dimensions
- 18 x 15 x 1,2 cm
- Poids
- 129 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Il s’agit dans ces poèmes d’une sorte de narration composée par fragments, par bribes, d’où ego serait, non pas absent, mais souvent décentré.
Des paroles et des gestes, des paysages, des images avec sons et odeurs ; des personnes de rencontre y apparaissent comme des adhérences dans
lesquelles l’auteur est pris et qui concourent sans doute à le définir.
Certaines silhouettes se sont détachées un instant en laissant l’empreinte presque abstraite d’une émotion, d’autres ont déposé une marque moins allusive : des pique-niqueurs anonymes, deux adolescentes saisies dans l’ouest américain par la photographie ou encore un homme qui connut l’esclavage…
Quelques figures sont davantage insistantes : William Carlos Williams, Nazim Hikmet, Hans Magnus Enzensberger ou Ossip Zadkine ;
c’est une façon de dire une dette, avec parfois quelques touches de moquerie.
Cet ensemble, où alternent suites de quatrains et groupements moins réguliers, est aussi l’occasion d’explorer les relations mutuelles de la prosodie de poésie et de la prosodie de prose, et les rapports de la page avec la voix.
Des paroles et des gestes, des paysages, des images avec sons et odeurs ; des personnes de rencontre y apparaissent comme des adhérences dans
lesquelles l’auteur est pris et qui concourent sans doute à le définir.
Certaines silhouettes se sont détachées un instant en laissant l’empreinte presque abstraite d’une émotion, d’autres ont déposé une marque moins allusive : des pique-niqueurs anonymes, deux adolescentes saisies dans l’ouest américain par la photographie ou encore un homme qui connut l’esclavage…
Quelques figures sont davantage insistantes : William Carlos Williams, Nazim Hikmet, Hans Magnus Enzensberger ou Ossip Zadkine ;
c’est une façon de dire une dette, avec parfois quelques touches de moquerie.
Cet ensemble, où alternent suites de quatrains et groupements moins réguliers, est aussi l’occasion d’explorer les relations mutuelles de la prosodie de poésie et de la prosodie de prose, et les rapports de la page avec la voix.
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