- EAN13
- 9791023900217
- Éditeur
- Capricci Editions
- Date de publication
- 20/03/2014
- Collection
- Actualité critique
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Une série de tueurs
Les serial killers qui ont inspiré le cinéma
Axel CADIEUX
Capricci Editions
Actualité critique
Autre version disponible
-
Papier - Capricci 7,95
"Qui était Harry Powers, le tueur de femmes et d’enfants, incarné à
l’écran par Robert Mitchum dans La Nuit du chasseur ? Jusqu’à quel point Ed
Gein, « le boucher de Plainfield », a-t-il inspiré Massacre à la
tronçonneuse? L’Inspecteur Harry, film pivot dans la carrière de Clint
Eastwood, ne doit-il pas énormément au tueur du Zodiac, jamais retrouvé ?
Les exemples sont légion. Hannibal Lecter naît du mélange de plusieurs
tueurs en série, parmi lesquels le terrible Ed Kemper, « l’ogre de Santa Cruz
». M le Maudit ne diffère pas tellement du meurtrier allemand Peter Kurten, «
le vampire de Dusseldorf », ayant sévi au début du XXe siècle. Il en va de
même pour des films comme Arsenic et vieilles dentelles, Scream, Tueurs-nés
ou pour la série télévisée Dexter. La fascination du cinéma pour les
serial killers est aussi ancienne que lui. Simple affaire de promotion ?
Exorcisme des traumas d’artistes ? Déguisement de la critique sociale en fait
divers ? Axel Cadieux raconte en onze chapitres ces terrifiantes et souvent
sordides histoires de cinéma."
l’écran par Robert Mitchum dans La Nuit du chasseur ? Jusqu’à quel point Ed
Gein, « le boucher de Plainfield », a-t-il inspiré Massacre à la
tronçonneuse? L’Inspecteur Harry, film pivot dans la carrière de Clint
Eastwood, ne doit-il pas énormément au tueur du Zodiac, jamais retrouvé ?
Les exemples sont légion. Hannibal Lecter naît du mélange de plusieurs
tueurs en série, parmi lesquels le terrible Ed Kemper, « l’ogre de Santa Cruz
». M le Maudit ne diffère pas tellement du meurtrier allemand Peter Kurten, «
le vampire de Dusseldorf », ayant sévi au début du XXe siècle. Il en va de
même pour des films comme Arsenic et vieilles dentelles, Scream, Tueurs-nés
ou pour la série télévisée Dexter. La fascination du cinéma pour les
serial killers est aussi ancienne que lui. Simple affaire de promotion ?
Exorcisme des traumas d’artistes ? Déguisement de la critique sociale en fait
divers ? Axel Cadieux raconte en onze chapitres ces terrifiantes et souvent
sordides histoires de cinéma."
S'identifier pour envoyer des commentaires.