- EAN13
- 9782379411861
- Éditeur
- L'Arbre vengeur
- Date de publication
- 18/03/2021
- Collection
- EXHUMERANTE
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Les hypothèses de l'échec
Précédé du texte « O.Henry, nous voilà ! » d’Antoine Blondin
O.HENRY, Antoine BLONDIN
L'Arbre vengeur
Exhumerante
Autre version disponible
-
Papier - L'Arbre vengeur 14,00
Huit nouvelles sur l'imposture qui mettent en scène des New Yorkais
pathétiques ou malins. Une manière en huit variations de découvrir l'étonnante
palette comique de cet humoriste qui fit la jonction entre Twain et les
comiques du New Yorker, doué d'un sens du récit qui en fait un modèle pour une
ribambelle d'écrivains américains. Son univers amusant l'a malheureusement
coupé d'une partie d'un lectorat, surtout en France, qui n'a vu en lui qu'un
humoriste là où il y avait bien du Tchékhov (en moins slave). C'est un des
plus célèbre prisonnier de la littérature.. O.Henry (1862-1910), de son vrai
nom William Sydney Porter, a effectivement fait trois ans de prison au motif
qu'il aurait détourné de l'argent lorsqu'il travaillait dans une banque. Il
avait commencé dès 1884 à écrire des chroniques humoristiques. Libéré, il se
consacre à plein temps à la rédaction de nouvelles (400..) qui lui vaudront la
gloire, posthume notamment. New Yorkais, il a fait de sa ville le décor de ses
hilarantes histoires.
pathétiques ou malins. Une manière en huit variations de découvrir l'étonnante
palette comique de cet humoriste qui fit la jonction entre Twain et les
comiques du New Yorker, doué d'un sens du récit qui en fait un modèle pour une
ribambelle d'écrivains américains. Son univers amusant l'a malheureusement
coupé d'une partie d'un lectorat, surtout en France, qui n'a vu en lui qu'un
humoriste là où il y avait bien du Tchékhov (en moins slave). C'est un des
plus célèbre prisonnier de la littérature.. O.Henry (1862-1910), de son vrai
nom William Sydney Porter, a effectivement fait trois ans de prison au motif
qu'il aurait détourné de l'argent lorsqu'il travaillait dans une banque. Il
avait commencé dès 1884 à écrire des chroniques humoristiques. Libéré, il se
consacre à plein temps à la rédaction de nouvelles (400..) qui lui vaudront la
gloire, posthume notamment. New Yorkais, il a fait de sa ville le décor de ses
hilarantes histoires.
S'identifier pour envoyer des commentaires.