- EAN13
- 9782381980751
- ISBN
- 978-2-38198-075-1
- Éditeur
- L'Arche
- Date de publication
- 15/11/2024
- Collection
- Scène ouverte
- Nombre de pages
- 80
- Dimensions
- 18,7 x 11,6 x 0,8 cm
- Poids
- 88 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Offres
-
13.50
À la mort de leur père, Nicole et Philipp se retrouvent pour vider
la maison familiale. Dans le grenier, ils découvrent un tableau
signé « A. Hitler » - catalyseur de la mise au jour des secrets de famille. Quand une experte en art nazi arrive et déclare que c’est un authentique tableau du Führer à mettre aux enchères, les camps se divisent : d'un côté, Judith, la femme du frère horrifiée qu’ils puissent spéculer sur une œuvre d’art nazi, en face, une famille se réjouissant de cette source d'argent inespérée.
Au fil de répliques cinglantes et d’échanges acerbes sur le legs du nazisme ou sur la question tant débattue de la frustration d’Hitler concernant les arts plastiques, se rejoue l’implacable question de
la conscience allemande après-guerre et ses démêlées avec le passé nazi, de l’indélébile « sentiment de culpabilité » au déni, et les résurgences terrifiantes d’un antisémitisme latent. Une pièce au vitriol sur la conscience de l’Histoire, mettant en perspective ce « passé qui ne passe pas », pour reprendre l’expression de l’historien et philosophe allemand Ernst Nolte, de nos jours si prégnante.
la maison familiale. Dans le grenier, ils découvrent un tableau
signé « A. Hitler » - catalyseur de la mise au jour des secrets de famille. Quand une experte en art nazi arrive et déclare que c’est un authentique tableau du Führer à mettre aux enchères, les camps se divisent : d'un côté, Judith, la femme du frère horrifiée qu’ils puissent spéculer sur une œuvre d’art nazi, en face, une famille se réjouissant de cette source d'argent inespérée.
Au fil de répliques cinglantes et d’échanges acerbes sur le legs du nazisme ou sur la question tant débattue de la frustration d’Hitler concernant les arts plastiques, se rejoue l’implacable question de
la conscience allemande après-guerre et ses démêlées avec le passé nazi, de l’indélébile « sentiment de culpabilité » au déni, et les résurgences terrifiantes d’un antisémitisme latent. Une pièce au vitriol sur la conscience de l’Histoire, mettant en perspective ce « passé qui ne passe pas », pour reprendre l’expression de l’historien et philosophe allemand Ernst Nolte, de nos jours si prégnante.
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