- EAN13
- 9791094225158
- ISBN
- 979-10-94225-15-8
- Éditeur
- ACTUALITES EDIT
- Date de publication
- 20/03/2019
- Collection
- INCORRIGIBLES
- Nombre de pages
- 60
- Dimensions
- 21 x 14,8 x 1 cm
- Poids
- 120 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Opéra de trois têtes dans le pavillon du silence s’inspire du triptyque Three Studies for Figures at the Base of a Crucifixion du peintre Francis Bacon. Ce texte, qui s’apparente à un paysage, un topos, interroge notre identité et nos origines sous la forme d’une partition graphique à la John Cage dans le cadre d’une conférence performative.
Le lecteur-spectateur assiste à la naissance de trois individus, générant le chaos analogue à celui de la Tour de Babel.
Trois têtes sans visage devisent, non sans humour, sur le bruit et le sens des mots dans l’espace clos et vide d’une scène. Les paroles qui émergent lentement de l’Indifférencié, du magma universel, construisent l’armature d’un conflit centré sur la liberté : pouvons-nous nous échapper dès lors que nous sommes identifiés et identifiables par un système social, une machinerie ? Nous sommes proches du théâtre de l’absurde, du vide et du trop-plein. Peu à peu, ces têtes acquièrent un visage, les mots s’organisent en syntaxes, et par là-même deviennent des fragments de fiction. Et des rapports de force.
D’une forme radicalement atypique dans le paysage des écritures contemporaines, ce texte allie la force des philosophies orientales traditionnelles et occidentales contemporaines.
Le lecteur-spectateur assiste à la naissance de trois individus, générant le chaos analogue à celui de la Tour de Babel.
Trois têtes sans visage devisent, non sans humour, sur le bruit et le sens des mots dans l’espace clos et vide d’une scène. Les paroles qui émergent lentement de l’Indifférencié, du magma universel, construisent l’armature d’un conflit centré sur la liberté : pouvons-nous nous échapper dès lors que nous sommes identifiés et identifiables par un système social, une machinerie ? Nous sommes proches du théâtre de l’absurde, du vide et du trop-plein. Peu à peu, ces têtes acquièrent un visage, les mots s’organisent en syntaxes, et par là-même deviennent des fragments de fiction. Et des rapports de force.
D’une forme radicalement atypique dans le paysage des écritures contemporaines, ce texte allie la force des philosophies orientales traditionnelles et occidentales contemporaines.
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