- EAN13
- 9782818048887
- ISBN
- 978-2-8180-4888-7
- Éditeur
- P.O.L.
- Date de publication
- 11/2019
- Collection
- Essais
- Nombre de pages
- 464
- Dimensions
- 20,5 x 14 x 3 cm
- Poids
- 458 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Pour expliquer le titre de ce nouveau livre, Christian Prigent cite l’écrivain russe Velimir Khelbnikov (1885-1922) : « Nous avons besoin de point d’appui, c’est-à-dire de journaux intimes ». Mais le titre peut s’entendre aussi négativement : Pas d’appui ! Pour tenir, résister, il faut à la fois chercher en soi, s’éprouver, et lire, regarder, penser.
Point d’appui est autant un journal qu’un livre de combat. On passe par des rêves notés le matin même, des pensées du jour, des anecdotes souvent drôles, des critiques de films, de livres, d’auteurs (Houellebecq), des polémiques, des questions d’actualité ou d’histoire, des souvenirs littéraires, des visions mais aussi des poèmes, des interludes (« haïku pour rire, mirlitonades fastoches »). On y croise de nombreuses théories, de nombreux sentiments. On y parle des défunts, des amis.
À la lecture, nous découvrons l’atelier intime de l’écrivain, où se forge sa pensée et sa langue. Il nous ouvre l’espace de ce que lui-même appelle son « désoeuvrement dépressif », et que vient combler l’écriture diariste. Tout est disparate mais comme l’écrit Christian Prigent « l’alternance fait rythme, une architecture émerge ».
Point d’appui est autant un journal qu’un livre de combat. On passe par des rêves notés le matin même, des pensées du jour, des anecdotes souvent drôles, des critiques de films, de livres, d’auteurs (Houellebecq), des polémiques, des questions d’actualité ou d’histoire, des souvenirs littéraires, des visions mais aussi des poèmes, des interludes (« haïku pour rire, mirlitonades fastoches »). On y croise de nombreuses théories, de nombreux sentiments. On y parle des défunts, des amis.
À la lecture, nous découvrons l’atelier intime de l’écrivain, où se forge sa pensée et sa langue. Il nous ouvre l’espace de ce que lui-même appelle son « désoeuvrement dépressif », et que vient combler l’écriture diariste. Tout est disparate mais comme l’écrit Christian Prigent « l’alternance fait rythme, une architecture émerge ».
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