- EAN13
- 9782213676753
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 23/01/2013
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Fayard 39,00
Alors que Francis Poulenc (1899-1963)s’est amplement confié dans des nombreux
ouvrages, entretiens, émissions de radio, une monographie fouillée restait à
écrire. Après celle d’Henri Hell, parue en 1978, qui se ressent de l’amitié
qui unissait le biographe et le musicien, Hervé Lacombe donne la version de
référence.
À partir de documents étudiés de première main, il offre une image renouvelée
d’un compositeur qui, né au XIXe siècle, s’est toujours inscrit dans son
temps, ouvert à tous les courants et curieux de toutes les musiques, même s’il
a choisi résolument de ne pas s’écarter de certains cadres formels.
Son œuvre, qui embrasse tous les genres et excelle particulièrement dans le
domaine vocal (ses mélodies sont au répertoire de nombreux chanteurs, son
opéra Les Dialogues des Carmélites est joué dans le monde entier, sa musique
religieuse est interprétée par de nombreux chœurs), est ici commentée dans son
rapport au langage de son époque, de manière à pénétrer la séduction qui,
d’une légèreté charmeuse et assumée à une gravité profonde, attire à elle les
amateurs et retient les connaisseurs.
À l’occasion du cinquantième anniversaire de sa mort, cet ouvrage complète la
connaissance d’un musicien dont on a découvert la plume élégante à travers sa
Correspondance (Fayard, 1994) et le recueil de textes J’écris ce qui me chante
(Fayard, 2011).
ouvrages, entretiens, émissions de radio, une monographie fouillée restait à
écrire. Après celle d’Henri Hell, parue en 1978, qui se ressent de l’amitié
qui unissait le biographe et le musicien, Hervé Lacombe donne la version de
référence.
À partir de documents étudiés de première main, il offre une image renouvelée
d’un compositeur qui, né au XIXe siècle, s’est toujours inscrit dans son
temps, ouvert à tous les courants et curieux de toutes les musiques, même s’il
a choisi résolument de ne pas s’écarter de certains cadres formels.
Son œuvre, qui embrasse tous les genres et excelle particulièrement dans le
domaine vocal (ses mélodies sont au répertoire de nombreux chanteurs, son
opéra Les Dialogues des Carmélites est joué dans le monde entier, sa musique
religieuse est interprétée par de nombreux chœurs), est ici commentée dans son
rapport au langage de son époque, de manière à pénétrer la séduction qui,
d’une légèreté charmeuse et assumée à une gravité profonde, attire à elle les
amateurs et retient les connaisseurs.
À l’occasion du cinquantième anniversaire de sa mort, cet ouvrage complète la
connaissance d’un musicien dont on a découvert la plume élégante à travers sa
Correspondance (Fayard, 1994) et le recueil de textes J’écris ce qui me chante
(Fayard, 2011).
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